cédric delmas • run like hell

Cédric Delmas

feat finn jones

naissance : J'suis né ici, à Montréal, le 16 Aout 1986. Si on m'avait demandé y'a quelques années, j'vous aurais surement dit que j'l'aurais jamais quitté, cette ville. Pourtant, je l'ai fait. J'y reviens tout juste.

origines, nationalités : Ma mère, elle est française. Mon père, il est québécois. Du coup, j'imagine que j'suis franco-québécois pour mes origines. Mais sur mes papiers, je suis juste québécois.

statut civil, orientation : j'suis hétéro et célibataire. Ces derniers temps, j'ai plus enchainé les relations sans ledemain qu'autre chose. Aujourd'hui, c'est plus c'que j'veux. Par contre, ce que je veux, j'pourrais pas tellement vous dire. Moi-même, j'suis pas sur.

situation financière : $$$$$$, j'ai clairement pas à me plaindre, mais j'suis loin de rouler sur l'or non plus. J'me défends, histoire de pouvoir vivre un minimum, quoi.

occupation : J'suis musicien. Alors principalement, je donne des cours de guitare chez le particulier. Mais ça m'arrive aussi pas mal de faire des repré dans des bars, vu qu'je chante, aussi.

régime alimentaire : alors là, franchement, rien à battre, hein. Tant que j'aime, tant que c'est bon, je bouffe. Et puis c'est marre.

allergies : rien à signaler de c'côté là... pas qu'je sache, en tout cas.

addictions : j'fume pas mal. Quatre cinq clopes par jours. J'sais que c'est pas bien, mais j'cherche pas non plus a arrêté. Par contre, j'ai jamais rien touché d'autre, niveau fumette, et pourtant, j'aurais pu en avoir l'occasion.

à montréal depuis : Quelques semaines. J'viens tout juste de rentrer, après plus de 15 ans d'absence.

thumbelina / laurie
25 ans
france
bazzart
pré-lien de @charlotte auclair

one two

généreux, téméraire, casse-cou, intègre, passionné, espiègle, impatient, intelligent, respectueux, gentil, érudit, juste, courageux, impulsif, persévérant, terre-à-terre, taquin, serviable, travailleur, méfiant, honnête, modeste, sociable, malin, têtu, râleur, bienveillant, énergique, franc

Quel est votre comportement face aux obstacles de la vie ? Rencontrez-vous actuellement des difficultés ?

Bah, des difficultés, j'en ai comme tout le monde, hein, c'est c'qui s'appelle la vie, les gars. Mais j'vais pas tortiller du cul pour chier droit ou chialer parce que y'a des obstacles qui se mettent devant moi. C'est pas tellement comme ça que j'risque d'avancer. Moi; les obstacles, je les sautes. Et si ils sont trop hauts, bah je les défonce. Tout simplement. Ah ouais, j'suis du genre à me la jouer bélier, mais y'a que comme ça que ça va bouger d'toute façon. Ca sert à rien de réfléchir mille ans à "ah, j'ai un problème, qu'est-ce que je fais" parce que la réponse est simple : je solutionne.

(un) Comme j'vous l'ai dis plus tôt, j'suis né ici, à Montréal, dans une toute petite famille puisqu'elle était juste composée de ma mère mon père et moi. J'ai ni frère ni soeur, et ça a souvent été quelque chose qui m'a beaucoup manqué quand j'étais môme. J'avais toujours rêvé d'être dans une grande famille,le genre ou tout est toujours tout le temps en bordel, ou on y entends toujours des cris de toute sortes, des rires, des discussions... le genre soudée, à la un pour tous et tous pour un ! Mais, c'est pas ce que j'avais. (deux) Et puis pauvre de moi, moi qui rêvait d'une grande famille, mes espoirs que ça puisse arriver un jour se sont un peu réduits à néant à mes douze ans, quand ma mère a décidé d'se casser avec un gars qu'elle fréquentait apparemment depuis pas mal d'années. Elle nous a laissé mon père et moi comme on laisse des vieilles fringues qu'on a plus porté depuis dix ans, et autant dire que mon père a eu beaucoup de mal à s'en remettre. Je dirais pas qu'il tombait des nues parce que j'pense qu'il se doutait quand même de quelque chose. Mais qu'elle ait décidé de le laisser me gérer tout seul, comme si j'étais juste un vulgaire hamster, ça, j'pense que ça l' touché. (trois) Et du coup, pour s'en remettre comme il pouvait, il a commencé à s'acharner au travail. Il en a même trouvé un deuxième, histoire qu'on se retrouve pas trop dans la merde, et autant vous dire qu'à partir de ce moment là, j'le voyais plus tellement, le paternel. Mais c'était pas plus mal comme ça. Parce que dès qu'on se retrouvait dans la même pièce... ça finissait mal. En fait, depuis le départ de ma mère, j'ai l'impression qu'il m'en voulait d'être là. Comme si en fait, depuis le début, j'étais pour eux deux une sorte de paquet empoisonné dont il fallait se débarrassé pour être tranquille et qu'il prenait mal le fait que ma mère ait réussi à s'barrer avant lui. Et moi, plus que le départ de l'autre, c'est ça, en fait, que j'ai vraiment mal vécu. (quatre) Je l'ai d'autant plus mal vécu que j'comprenais vraiment pas pourquoi une attitude pareille. Parce que c'était pas comme si j'étais un putain d'gamin à problèmes qui leur rapportait que des merdes. J'étais gentil, j'étais serviable. J'étais peut-être pas le meilleur d'ma classe à l'école, mais en tout cas j'faisais de mon mieux et j'causais pas d'vagues. pour moi, toute cette merde était qu'une putain d'injustice. Et peut-être que jm' faisais des idées sur c'que pensait mon père, peut-être qu'au final, il arrivait juste pas à gérer son mal-être... mais ce qui est sûr, c'est qu'il a jamais, jamais essayé d'arranger les choses entre nous, au fil des années. Et ça, c'était pourtant son rôle. C'était lui, le père. Pas l'inverse. (cinq) Mais j'vous rassure, j'avais quand même un échappatoire, dans toute ça. Mes amis. Plus les années passaient, plus je restais avec eux, plus je tentais de trouver des excuses pour pas rentrer chez moi, ou du moins, le plus tard possible. J'leur ai jamais dis c'qu'il se tramait vraiment à la maison depuis le départ de ma mère. J'voulais pas les inquiéter plus que c'qu'ils pouvaient déjà l'être. J'voulais juste être avec eux, et oublier. Enfin, quand j'dis eux, en fait, y'en avait quand même une qui sortait du lot, et avec qui j'avais plus envie d'être que les autres. Cette fille, c'était Charlotte. Ma voisine, et amie d'enfance. J'pense que j'ai toujours eu un coup de coeur pour elle, si ce n'est plus. Mais j'étais partis du principe que ça serait certainement pas réciproque, alors j'comptais pas lui avouer. (six) Et pourtant, un soir ! Bon, okay, elle était bourrée. Et au final, on aura jamais eu l'occasion d'en reparler. Donc en fait, j'vais vous raconter un truc dont j'connais même pas le vrai sens derrière. Mais, un soir, elle m'a avoué qu'elle pensait m'aimer. Ah, putain, moi, ça, ça m'avait foutu sur le cul. J'avais pas bu, moi, parce que j'voulais veiller sur elle. J'avais donc toutes mes capacités neuronales au moment des faits, et c'est complètement conscient et saint d'esprit que j'lui ai répondu que moi aussi, j'pensais. Et je l'ai embrassée. Un baiser qui puait l'vin, mais j'm'en tapais, parce que putain c'que j'avais pu l'attendre, celui là. (sept) Si j'm'attendais à c'moment là, qu'en rentrant chez moi, les choses allaient prendre une allure nettement différentes... et ça a pourtant été le cas. J'ai finis par rentrer, en m'attenant à retrouver la baraque complètement vide, comme a mon habitude... sauf qu'en fait, bah, non. Bon, déjà, j'avais bien remarqué que la porte d'entrée était ouverte, mais au début, moi, j'me suis juste dit que comme un con, j'avais zappé de la fermer. J'm'attendais pas tellement à retrouver quatre types inconnus au bataillon en train de foutre à sac le salon. Mais dommage pour moi, c'est exactement c'que j'ai retrouvé ! Ah ça, c'qu'ils ont pu me filer la frousse, ces cons ! J'en rigole aujourd’hui, mais, vraiment, j'ai flippé ma race. Surtout que quand ils m'ont vu, ils ont commencé à m'demander hyper agressivement ou était le paternel, sauf que moi j'en savais rien, ça faisait trois semaines que j'l'avais pas vu. Et c'est comme ça que j'ai appris que ça faisait aussi trois semaine qu'il avait volé une grosse somme d'argent à ces types qui faisaient en fait partie d'une organisation pas tellement recommandable. Et c'est comme ça que j'ai compris que l'autre vieux avait du se barrer, en me laissant seul avec sa merde. Heureusement, même si j'flippais, j'suis resté malin, j'ai réussi à réfléchir vite. Et comme j'ai compris que ces types allaient pas partir sans leur argent, mais que je l'avais malheureusement pas, moi, leur argent... bah j'me suis proposé, à la place. J'leur ai dis que je bosserais pour eux autant de temps qu'il le faudra pour éponger la dette. Et, à ma plus grande surprise, ils ont finis par accepter, et ils m'ont embarqué aussitôt. (huit) Et c'est comme ça que j'ai finis à Toronto, dans l'organisation clairement criminelle de ces types. Ma dette, elle a mis six ans, à metre épongée. Et pourtant... c'est près de seize ans, que j'suis resté avec eux. Parce que même si, comme ça, la situation pourrait paraître horrible, bah, en fait... pas tant que ça. Bon, okay, j'vais pas mentir, les premier temps -genre, la première année- ça a été vraiment dur pour moi. J'me sentais comme un p'tit agneau perdu au milieu des loups. Sauf qu'en fait, avec le temps, j'ai compris que j'étais pas un p'tit agneau... j'étais un louveteau. Ca peut sembler dingue, ouais. Mais j'ai vraiment finit par apprécier être avec ces types. J'ai finis par m'amuser de ce travail qu'on me demandait de faire. J'y ai pris goût. Et eux aussi, ils ont finit par vraiment m'intégrer au groupe, jusqu'à ce que je devienne vraiment l'un des leurs. En fait, quelque part... c'est comme si j'avais enfin trouvé la famille nombreuse qui me faisait tant rêver. Cette maisonnée ou on entendait de partout des cris de toutes sortes et des rires. Ou l'esprit de camaraderie était là, où on ne laissait personne sur le bord de la route. J'ai vraiment appris, avec eux. Appris à me défendre, appris à me jouer de mon monde pour survivre, appris à me sentir à la place quelque part... et même appris la guitare, et à chanter ! Alors ouais, du coup, j'ai jamais pu finir le lycée. Ouais, j'suis lééégèrement devenu c'qu'on pourrait appeler un criminel. Mais, franchement ? Même avec ça, j'pense que c'est un des meilleurs virages inattendu qui aurait pu m'arriver. (neuf) Et honnêtement, j'pense que je les aurais jamais quitté, si j'avais pas appris un peu par hasard une nouvelle bien particulière : Charlotte allait se fiancer. Ca m'a un peu mis sur le cul. C'est un peu con d'ma part, j'm'en rend compte, parce qu'elle allait pas s'arrêter de vivre ou je sais pas quoi... mais, d'un côté, j'pense que dans ma tête, c'était un peu comme si j'étais aller à Narnia, et que le temps à Montréal, s'était arrêté. J'avais pas vraiment réalisé tout ce que j'avais laissé là bas, ni que le temps et les années étaient aussi passées là bas. Et d'un seul coup, j'ai eu comme le besoin de retourner là bas. Peut-être pas pour toujours, en vrai, j'en sais rien. Mais... j'sais pas. J'pense que j'me suis aussi dis que son fiancé, ça aurait pu être moi, si l'histoire avait été différente, et ça m'a foutu une claque. J'en ai pas mal parlé avec les gars, et, au final, ils m'ont encouragé à y retourner, ne serait-ce que pour revoir Charlotte. Quand j'disais, qu'ils étaient comme une famille. (dix) Et du coup, ça fait quelques semaines que j'suis de retour ici. J'ai pas vraiment quitté l'organisation, disons que j'ai juste mis les choses sur pause le temps de comprendre c'qu'il se trame dans la tête. De toute façon, les gars me font confiance, et j'ai confiance en eux. J'me suis trouvé un p'tit appart un peu banal, mais qui fera largement l'affaire. Et j'gagne ma vie en chantant, en jouant dans des bars et en donnant des cours de guitare à domicile. Une p'tite vie toute tranquille qui me change assez de ce que j'ai connu pendant quinze ans, mais, c'est pas si mal, en fait. C'est comme des p'tites vacances. 'Fin bon. J'ai toujours pas recroisé Charlotte, parce que j'me vois assez mal débarquer d'un seul coup chez elle et être comme eh, désolé d'avoir disparu pendant quinze ans, j'ai juste rejoins un gang du jour au lendemain. ça va toi ? Aaah, les choses sont compliquées. Mais, on finira bien par se croiser, je suppose. Et même si j'ai aucune idée de comment ça va se passer... j'ai quand même hâte de voir ça arriver.

très très bon choix.
bienvenue à nos côtés et bon courage pour la rédaction de ta fiche. si tu as besoin, le staff n'est jamais loin.
je te réserve finn pour une durée de cinq jours.

je connaissais pas la célébrité mais il a de beaux yeux cédric delmas • run like hell 2557596028

bienvenue à toi cédric delmas • run like hell 778944683

15/08/2019

Finn, quel choix magnifique cédric delmas • run like hell 2577911571

, il est tellement peu vue , c'est bien dommage tien cédric delmas • run like hell 3719020989

Bienvenue en tout cas ici, j'espère que tu te plairas parmi nous cédric delmas • run like hell 3719020989

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Pense juste à ajouter ton avatar en description sujet

merciiiii vous trois vous êtes trop choux cédric delmas • run like hell 4049779993

Finn c'est clair qu'on devrait le voir plus souvent, tellement sous côté dans le BG-game et pourtant si beauuuu cédric delmas • run like hell 2337917583

cédric delmas • run like hell 2337917583

eeet j'ajoute de suite l'avatar en description que j'avais oublié, oupsiiiiiie cédric delmas • run like hell 4244797628

16/08/2019

Welcome here, beau gosse, et bon courage pour ta fiche!! cédric delmas • run like hell 3719020989

Bienvenue!!! cédric delmas • run like hell 3719020989

bienvenue à toi cédric delmas • run like hell 3147701140

Bienvenue par ici cédric delmas • run like hell 4114835183

03/06/2019

bienvenueeee sur le forum cédric delmas • run like hell 1050448563

merci les fiiiiiilles vous êtes toutes belles cédric delmas • run like hell 2557596028

cédric delmas • run like hell 3884507175

Bienvenue à toi sur Ct Monsieur le musicien dont je ne connaissais pas la tête !

Have fun parmi nous et bon courage pour ta fiche ! cédric delmas • run like hell 3719020989